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Burkina: Pingwendé Gilbert Ouédraogo signe une convention de 2 milliards pour dynamiser le secteur culturel

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Pingwendé Gilbert Ouédraogo, le ministre de la communication du Burkina Faso, a présidé  jeudi 10 juillet 2025 à Ouagadougou, la signature d’une convention entre  le Bureau de la Coopération Suisse au Burkina Faso, qui mise sur la culture comme levier de paix et de développement.

Une convention pour booster l’innovation et les revenus des acteurs culturels

Cette convention signée par le ministre Pingwendé Gilbert Ouédraogo met la culture au cœur d’une dynamique de développement, d’innovation et de paix. D’un coût global de 2.000.000.000 de F CFA pour la phase 1, le programme couvre la période 2025-2028.

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Il vise à terme le financement des projets des opérateurs culturels privés, des réformes structurantes du secteur culturel et la réalisation des initiatives innovantes.  Parmi ces projets figure la réhabilitation du Ciné Guimbi OUATTARA, mais aussi  le renforcement des capacités techniques et opérationnelles des acteurs publics et privés.

L’objectif principal est de booster les capacités socio-économiques des acteurs culturels, tout en faisant de la culture un pilier essentiel de la cohésion sociale et du vivre-ensemble.

Pour Pingwendé Gilbert Ouédraogo, ce partenariat est une réponse concrète aux besoins du secteur, souvent fragilisé par des crises multiformes, mais dont le potentiel de transformation reste immense.

La coopération suisse engagée pour la cohésion sociale par la culture

La culture, à travers cette initiative, devient un outil stratégique pour favoriser le dialogue, la résilience des communautés et l’inclusion. En appuyant les projets culturels innovants, la coopération suisse entend ainsi promouvoir un climat propice à la paix durable.

En somme, cette convention présidée par Pingwendé Gilbert Ouédraogo est perçue comme une opportunité de faire de la culture un vecteur de transformation sociale, d’innovation économique et surtout un ferment de paix dans un Burkina Faso en quête de stabilité.

AMINA KABO DJARMAH

 

 

 

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